Le Ministre de l'Intérieur et des Collectivités Locales Monsieur Noureddine Bedoui a confirmé, Jeudi le 08/10/2015 à Alger, lors d’une réponse à une question orale d’un député de l’assemblée populaire nationale, qui a porté sur le refus des services d’état civil de certaines communes d’enregistrer les prénoms amazighs des nouveaux nés, que ces prénoms sont nationaux algériens protégés par les lois en vigueur notamment la constitution et le code d’état civil.

 

Le Ministre de l'Intérieur et des Collectivités Locales Monsieur Noureddine Bedoui a confirmé, Jeudi le 08/10/2015 à Alger, lors d’une réponse à une question orale d’un député de l’assemblée populaire nationale, qui a porté sur le refus des services d’état civil de certaines communes d’enregistrer les prénoms amazighs des nouveaux nés, que ces prénoms sont nationaux algériens protégés par les lois en vigueur notamment la constitution et le code d’état civil.

Le Ministre a éclairci à cet égard, que « les contraintes rencontrées par les parents lors de la transcription des nouveaux nés avec des prénoms amazighs, sont rares et exceptionnelles estimées à deux ou trois cas et ont été réglés au niveau du ministère de l’intérieur et des collectivités locales par voie de justice »

Le ministre a conclu en disant que ses services « accordent un intérêt particulier à la promotion du service public y compris les services d’état civil des communes et si ils existent des contraintes lors de la transcription de ces prénoms, elles seront résolues par des nouvelles instructions »